Un mari, un Viagra et trois repas refusés : la réplique qui a tout sauvé

La vie conjugale réserve parfois des scènes burlesques où l'humour devient la meilleure sauce. Entre un mari sous médication et une épouse déterminée à le nourrir, cette anecdote culinaire finit par une chute aussi savoureuse qu'inattendue.
8h du matin, scène de ménage gourmande :
Elle mitonne un festin matinal avec l’énergie d’une cheffe étoilée : œufs brouillés, **lard grillé à point**, pain doré au beurre. Penchée vers son conjoint attablé, elle propose avec entrain :
« Un peu de tout ? Œufs, lard, tartine, jus frais ? »
Sa réponse, aussi sèche qu’un toast oublié :
« Non merci. Ce satané Viagra me coupe l’envie de manger. »
Qui dit mieux ?
12h30, deuxième round culinaire :
Notre héroïne persiste avec **des cakes moelleux** et des croques appétissants.
« Tu ne veux vraiment rien avaler ? » tente-t-elle, l’air espérant.
Même refrain :
« Le Viagra, ma chérie. Zéro appétit. »
19h, ultimatum gastronomique :
Elle sort l’artillerie lourde : **bœuf saignant**, purée veloutée, tarte aux pommes caramélisée. Rien n’y fait.
Troisième rejet. Troisième mention du fameux comprimé.
C’est alors qu’elle libère une réplique aussi efficace qu’un couteau de chef :
« Très bien. Mais alors lâche-moi, je meurs littéralement de faim. »
Le génie comique du quotidien
Ce qui rend cette histoire irrésistible ? Le parfait équilibre entre la persévérance culinaire de l’épouse et sa chute aussi spirituelle qu’imparable. **Toute personne ayant préparé un repas pour un convive récalcitrant** reconnaîtra ce mélange d’exaspération et d’amusement.
Ces instants de vie partagée prouvent que l’humour reste **le meilleur assaisonnement conjugal**. Quand l’appétit s’envole, une bonne dose de second degré peut sauver n’importe quel dîner **délaissé**.
Mesdames, si votre moitié boude vos petits plats, respirez profondément… et gardez sous le coude **votre meilleure répartie**. Parfois, les mots valent tous les desserts !