Lady Diana et Hasnat Khan : une passion discrète au cœur d’une vie tumultueuse

Publié le 18 août 2025

On se souvient d'elle comme d'une icône bienveillante, rayonnante, mais peu savent qu'entre deux engagements officiels, Diana a vécu une romance secrète. Loin des projecteurs, avec un homme qui incarnait tout ce que son monde doré n'était pas : simplicité, authenticité, et un amour sans fard.

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Un destin qui bascule dans un service hospitalier

Lady Diana et Hasnat Khan se croisant à l'hôpital

En 1995, alors que la princesse de Galles sillonne les hôpitaux londoniens pour soutenir des causes caritatives, son chemin croise celui d’un chirurgien au sourire rare. Hasnat Khan, spécialiste du cœur – au sens propre comme figuré –, séduit Diana par son humilité et son regard empreint de douceur.

Aucune couronne, aucun titre, juste l’aura d’un homme intègre, comparé par certains à un héros de roman. Un contraste saisissant avec l’univers clinquant qu’elle fréquentait, et qui, pour une fois, ne l’éblouissait pas.

Des rendez-vous officieux sous couvert de charité

Ses visites à l’hôpital Royal Brompton deviennent plus fréquentes. Si le prétexte reste humanitaire, la vérité est ailleurs : chaque passage lui offre l’occasion de partager des instants volés avec ce médecin au charme discret. Pendant près d’un mois, ces rencontres furtives deviennent son oxygène, une parenthèse de légèreté dans un emploi du temps surchargé.

Diana et Hasnat partageant un moment complice

Lui, habituellement distant avec les mondanités, succombe à son rire cristallin et à sa manière de briser les codes. Ensemble, ils découvrent la saveur des petits bonheurs : un thé partagé dans un pub enfumé, des promenades anonymes, et cette liberté si nouvelle pour elle.

Un amour camouflé avec inventivité

Lettres secrètes entre Diana et Hasnat

Pour échapper aux paparazzis, le couple déploie des trésors d’ingéniosité. Diana use de pseudonymes farfelus (« Dr Armani »), emprunte des déguisements pour des soirées jazz, et organise des entrées secrètes à Kensington Palace. Une vie à double face, où chaque stratagème renforce leur complicité.

De son côté, Hasnat lui ouvre les portes de sa culture : rites pakistanais, saveurs épicées, rencontres familiales. La princesse, avide d’apprendre, dévore des livres sur l’islam. Ce n’est plus une idylle, mais une véritable immersion dans l’univers de l’autre.

Une place dans le cœur de ses fils

Leur lien se consolide au point qu’elle présente le chirurgien à William et Harry. Un geste lourd de sens pour cette mère ultra-protectrice. Certains proches affirment même qu’elle évoquait le mariage, surnommant Hasnat son « âme sœur timide ». Mais le bonheur se heurte vite aux réalités.

Lui, viscéralement attaché à sa tranquillité, craint l’effet médiatique. Malgré des projets d’exil (Pakistan, Australie…), rien n’aboutit. En juillet 1997, ils se séparent, laissant derrière eux des rêves inachevés.

Une fin tragique et un deuil intime

Quelques semaines plus tard, le destin frappe : Diana périt dans un accident à Paris, aux côtés de Dodi Al-Fayed. Hasnat, stupéfait par cette relation soudaine, assiste aux funérailles dans l’ombre. Il gardera toujours pour lui ces deux années de bonheur clandestin.

L’héritage d’un amour pur

Hasnat Khan aujourd'hui, évoquant Diana

Aujourd’hui retiré des projecteurs, Hasnat Khan vit une vie paisible entre pêche et bénévolat. Mais dans ses rares confidences, une évidence persiste : Diana fut bien plus qu’un chapitre de sa vie.

Cette histoire, aussi brève que intense, révèle une vérité souvent oubliée : sous la tiare et les robes de couturier, battait le cœur d’une femme ordinaire, assoiffée d’amour vrai. Un besoin que ni les palais ni les honneurs ne pouvaient combler.
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